A l’issue de la rencontre des 18 et 19 juin 2018 à Bangui, il explique que l’un des points inscrits à l’ordre du jour est la validation du manifeste citoyen de sortie de crise. Pour Gervais Lakosso, débattre d’un problème du pays est l’affaire des Centrafricains dont la société civile et celle du Gouvernement et des groupes armés.
L’opportunité a permis aux acteurs de la société civile de dire ne pas comprennent pas le travail que fait la Minusca, l’Union africaine et les multiples ONG internationale en République Centrafricaine.