L’ancien Premier ministre et membre de l’opposition démocratique estime que ce 8ème accord constitue un espoir. Il souhaite que les parties signataires respectent leurs engagements pour asseoir la paix dans le pays. Me Nicolas Tiangaye relève une violation flagrante sur l’applicabilité de cet accord. La violation se situe au niveau de la mise en place d’un gouvernement inclusif dès la signature du document. Ce qui selon lui n’a pas été fait depuis le 6 février. Me Nicolas Tiangaye reste toutefois méfiant sur des dispositions contenues dans cet accord notamment la mise en place d’une brigade mixte et d’une commission inclusive sensée examiner tous les aspects liés à la crise centrafricaine et proposer des actions susceptibles d’être prise en compte.