Cette Commission figure parmi les engagements pris après l’Accord de paix de Khartoum entre le Gouvernement et les groupes armés. Est-ce une manière de freiner la justice de faire son travail ? Est-ce ouvrir la porte à l’amnistie des chefs de guerre ? Me André Olivier Maguéréka en apportant un éclairage dans notre magazine, reste prudent sur la définition à donner à la CVJRR.