Jusqu’en 2016, les structures pénitenciers fonctionnent mais sans cadre juridique légal. Les agents et cadres ont la lourde charge de veiller au bien-être des détenus mais aussi s’assurer qu’ils ne représentent pas un danger. Invité dans ce magazine, Mesmin Grézangbé Yolo, contrôleur pénitencier à la maison carcérale de Mbaïki, explique que sa tâche consiste à mettre en œuvre et à suivre l’application des orientations de la politique pénitencier.