L’Assemblée nationale a adopté la loi fixant le prix de la carte nationale d’identité à 4500 Fcfa. Force est de constater que dans les faits, les centrafricains payent plus que ce qui est prévu par la Loi. A l’origine, un arrêté ministériel qui fixe la grille tarifaire contrairement à ce que les députés ont voté. Une situation que déplore le député du 1er arrondissement de Bangui, Augustin Agou. Il ne comprend pas comment un arrêté peut primer sur une loi.