Plusieurs violences des droits humains perpétrées par des hommes armés non identifiés ou appartenant aux groupes armés connus, ont été répertoriées ces derniers temps à Bangui et à l’intérieur du pays. Des violences qui se sont soldées par des pertes en vies humaines et pillages des biens. Dans la capitale Bangui, des centaines de familles ont été victimes des braquages. Ces vols à mains armées occasionnent souvent des pertes humaines. Cependant, que fait le gouvernement pour garantir la sécurité de la population ? Est-il dépassé par le cours des événements ? Comment expliquer la montée de l’insécurité en cette période d’Etat d’urgence et de couvre-feu ? Les assaillants auraient-ils adopté une nouvelle stratégie face à l’offensive des forces de l’ordre et de sécurité nationale à l’intérieur du pays ? Comment faire pour juguler totalement cette insécurité que vit la population ? Pour en débattre, Armando Yanguendji reçoit maitre Bruno Hyacinthe Gbiegba, membre du Groupe de travail de la société civile (GTSC); Fidèle Gouandjika, ministre conseiller spécial du président de la République; Jean-Michel Mandaba, coordonnateur adjoint du mouvement des partis centristes et Raymond Adouma, membre de la Coalition de l’opposition démocratique (COD-2020).