« Une bonne partie des conflits et querelles que je tranche dans mon quartier est constituée d’Atènè… On perd du temps et de l’énergie avec les rumeurs et les fausses informations. Ce temps et cette énergie, on pourrait les consacrer à des activités plus rentables ! », affirme Timothée Timoléon Feihingmona, 66 ans, chef du quartier Bornou, Mbaïki. (8 juin 2021, Mbaïki)