Avec une production annuelle avoisinant 1.000 tonnes contre 500.000, il y a plus de 30 ans, le café centrafricain éprouve d’énormes difficultés. Plusieurs facteurs expliquent cette faible production. Notamment, l’existence d’une maladie qui sévit dans des plantations et l’insécurité qui prévaut dans les zones de production. Pour revenir sur les différents aspects liés à cette faiblesse, Emmanuel Samboli reçoit Achille Bakamba, directeur général de l’Office de règlementation, de la commercialisation, du contrôle et de conditionnement des produits agricoles (ORCCPA). Didace Sabone intervient dans le Mot de l’économie.