« Nous éprouvons des difficultés pour écouler nos rendements en igname et manquons de soutien des partenaires ».
Cette plainte émane ce samedi 8 mai 2010, sur les ondes de Radio Ndeke Luka, de François David Ndouba, secrétaire général de la Coopérative des planteurs d’Igname de Bossangoa (ouest de Centrafrique).
Il l’a dit dans le cadre de la relance des activités de la culture de l’igname dans cette localité.
Selon Martin Goyama, chef de secteur agricole de Bossangoa et Nana-Bakassa, interrogé par le correspondant de Radio Ndeke Luka, la culture de l’igname présente deux intérêts : économique et nutritionnel.
D’après un des consommateurs de l’igname, c’est un aliment de substitution au manioc qui selon lui, est considéré comme un aliment de base des centrafricains.
Signalons que culture de l’igname est pratiquée depuis 8 ans dans la localité.