« François Bozizé et les institutions républicaines restent en fonction jusqu’à la tenue des prochaines élections groupées en Centrafrique ».
Cette autorisation vient de la cour constitutionnelle le mardi 25 mai 2010, après celle de l’assemblée nationale, lors d’une audience sur l’examen des articles 24 et 50 modifiant la constitution centrafricaine.
Seulement la Commission Electorale Indépendante (CEI), n’a pas encore réagit pour fixer une nouvelle date du scrutin en Centrafrique, après qu’elle l’ait repoussé le 25 avril et 16 mai 2010 à une date ultérieure.
Signalons que la modification de la constitution du pays n’a pas rencontré l’agrément de l’opposition démocratique, qui souhaitait un accord politique sous l’arbitrage du médiateur centrafricain Monseigneur Paulin Pomodimo.
La prochaine étape consistera à la promulgation de la loi prorogeant et modifiant le mandat présidentiel et législatif par le Chef de l’Etat Centrafricain François Bozizé.