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Après la publication, il y a quelques jours, d’une vidéo par un officier burkinabè parlant d’un éventuel recrutement de mercenaires centrafricains pour déstabiliser son pays, le gouvernement centrafricain réagit. Tué après sa tentative de fuite, cet officier aurait recruté, de son vivant, 150 mercenaires en Centrafrique. Un acte qui impliquerait l’ancien président burkinabè de transition, Paul-Henri Sandaogo Damiba, en exil au Togo et un autre officier de l’armée travaillant pour le compte de la Minusca à Bangui. Une information rejetée en bloc par Bangui. Selon, Maxime Balalou, porte-parole du gouvernement centrafricain, la République centrafricaine ne peut servir de base arrière pour la déstabilisation d’un pays frère. Il est au micro de Jean Fernand Koena.