Quatre fillettes mineures vivant dans les sites des déplacées à Bangui auraient été abusées sexuellement par des casques bleus de la Minusca. L’Organisation des Nations Unies a annoncé avoir ouvert une enquête sur ces nouvelles accusations.
Parfait Onanga Anyanga, représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies en Centrafrique, qualifie ces allégations de violences sexuelles portées à l’encontre des casques bleus de « crime inacceptable ».
Cette prise de position est intervenue ce 06 janvier 2016 au cours de la première conférence de presse hebdomadaire de la Minusca pour 2016.
« Je suis profondément choqué et je le déplore », a déclaré le patron de la Minusca Parfait Onanga Anyanga qui renchérit que la préoccupation de son institution va au-delà de la simple réaction de choc. « Nous allons prendre des mesures extrêmement agressives d’abord pour investiguer sur ces nouveaux cas et pour prendre des sanctions à l’encontre de tous ceux qui seraient impliqués dans ces actes extrêmement horribles », a-t-il précisé.
Le représentant de la Minusca ajoute que « les enquêtes sont en cours et tout doit être mis en œuvre pour que réparation soit faite aux victimes ».
Dans une autre déclaration attribuée à Stéphane Dujarric, porte parole de l’ONU, celui-ci a expliqué que « ces victimes présumées ont été interrogées à Bangui par des enquêteurs de l’Unicef » avant d’ajouter que les autorités centrafricaines, ainsi que les pays contributeurs de troupes concernés par ces nouvelles allégations de viols ont été informés.
Selon les informations fournies par l’ONU à ce sujet, les quatre fillettes ont été sexuellement exploitées contre des nourritures offertes par les casques bleus de la Minusca. A ce jour, la nationalité de ces présumés accusés de viols n’est pas connu. Toutefois, cette énième violence sexuelle porte à 26 le nombre de cas d’abus sexuels portées à l’encontre des soldats de la Minusca.
Quatre fillettes mineures vivant dans les sites des déplacées à Bangui auraient été abusées sexuellement par des casques bleus de la Minusca. L’Organisation des Nations Unies a annoncé avoir ouvert une enquête sur ces nouvelles accusations.
Parfait Onanga Anyanga, représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies en Centrafrique, qualifie ces allégations de violences sexuelles portées à l’encontre des casques bleus de « crime inacceptable ». Cette prise de position est intervenue ce 06 janvier 2016 au cours de la première conférence de presse hebdomadaire de la Minusca pour 2016.
« Je suis profondément choqué et je le déplore », a déclaré le patron de la Minusca Parfait Onanga Anyanga qui renchérit que la préoccupation de son institution va au-delà de la simple réaction de choc. « Nous allons prendre des mesures extrêmement agressives d’abord pour investiguer sur ces nouveaux cas et pour prendre des sanctions à l’encontre de tous ceux qui seraient impliqués dans ces actes extrêmement horribles », a-t-il précisé.Le représentant de la Minusca ajoute que « les enquêtes sont en cours et tout doit être mis en œuvre pour que réparation soit faite aux victimes ».Dans une autre déclaration attribuée à Stéphane Dujarric, porte parole de l’ONU, celui-ci a expliqué que « ces victimes présumées ont été interrogées à Bangui par des enquêteurs de l’Unicef » avant d’ajouter que les autorités centrafricaines, ainsi que les pays contributeurs de troupes concernés par ces nouvelles allégations de viols ont été informés
Selon les informations fournies par l’ONU à ce sujet, les quatre fillettes ont été sexuellement exploitées contre des nourritures offertes par les casques bleus de la Minusca. A ce jour, la nationalité de ces présumés accusés de viols n’est pas connu. Toutefois, cette énième violence sexuelle porte à 26 le nombre de cas d’abus sexuels portées à l’encontre des soldats de la Minusca.