La République Centrafricaine est sur la voie de se doter d’un nouveau code électoral révisé. L’ancien contient des irrégularités dont la principale est l’inégalité entre l’homme et la femme. Il est donc question de corriger ces failles afin de lever la barrière conformément à la loi sur la parité adoptée par les élus de la nation. Vous le savez, depuis l’adoption de la loi sur la parité, on raisonne en termes de 50/50 ou encore moitié-moitié entre homme et femme. Ghislaine Bertille Hamazoda décrypte le sujet avec Mme Nadine Pingama-Modo, magistrate – 1er juge au Conseil d’Etat, Eugène Ngbandité-Mbombaté, juriste – expert en genre et Mme Marie-Madeleine Moussa-Yadouma, ancienne ministre – présidente du lobbying des femmes centrafricaines.