Après la crise centrafricaine, un Conseil National de Médiation a été mis en place. Jacques Mbosso s’est focalisé sur l’article 134 de la loi fondamentale, définissant les missions du Conseil, pour expliquer qu’un certain nombre de chose a été fait en amont et surtout avant les 100 premiers jours de l’accession à la magistrature suprême du Président de la République. Le Conseil National de Médiation est multicolore c’est-à-dire de différentes entités : des religieux de toutes les confessions, un activiste des droits de l’homme, un avocat et un magistrat, bref cinq conseillers nationaux plus le Médiateur de la République. Le cabinet du Médiateur et d’autres services administratifs appuient dans cette lourde tâche.