« La personnes humaine est sacrée » selon les termes de la Constitution centrafricaine. La déclaration universelle des droits de l’homme précise que tous les hommes naissent libres et égaux en droit et en dignité. La personne humaine est par conséquent inviolable et ne doit pas faire l’objet d’une indignation. Or depuis que la République Centrafricaine est frappée par la crise, les droits de la personnes sont foulés au pied. Les violations des droits humains sont devenues monnaies courantes.
John Noubarassem a convié autour de la table, Carine Formelle Poutou, présidente de l’Association des femmes juristes de Centrafrique (AFJC), Docteur David Koudounguéret, spécialiste des sciences sociales et religieuses et Père Médard Sané, encadreur des jeunes au centre Catholique Universitaire pour discuter de la question.