Face à la persistance de cette maladie qui n’a pas de traitements appropriés, Bienvenu Bruno Koudoumalé, chef de service préfectoral de l’Elevage de l’Ouham-Péndé, se plaint du manque de matériels techniques pour la réalisation des prélèvements afin de déterminer les agents pathogènes afin de mener une lutte efficace. Il a également mentionné que le vaccin non seulement n’est pas mis à disposition mais sont introuvables sur le marché. Dépourvu de tous moyens, Bienvenu Bruno Koudoumalé explique être impuissant quand aux mesures de répression.