Jean-Arnold de Clermont, président de l’Observatoire Pharos en France, précise que les enquêtes ont commencé en septembre 2017. Une vingtaine de centrafricains ont été mis à contribution pour le travail de terrain. Selon Jean-Arnold de Clermont, un sentiment d’abandon des victimes de la part des autorités centrafricaines s’est dégagé des multiples entretiens réalisés auprès de ces derniers. Elles attendent du gouvernement que justice soit rendue. En clair, les victimes prônent l’impunité zéro, sollicitent un appui financier et réclament une franche réconciliation.