L’auto-prise en charge à travers le développement de l’informel est une activité qui fait vivre de nombreux Centrafricains. De la boucherie au méchoui en passant par la restauration tenue par des femmes, beaucoup ont compris qu’on peut se fait un revenu sans passer par la Fonction Publique. Plusieurs autres métiers comme la vannerie permettent aussi de faire de sous-traitance et d’avoir son pain quotidien.