En République Centrafricaine de nos jours, de nombreuses personnes ont perdu les repères quant à l’organisation des obsèques. Les morts n’ont plus droit à des hommages mérités comme par le passé. Les lieux de deuil sont considérés comme des lieux de loisirs où l’on vient faire ce qu’il veut. S’agit de la dépravation des mœurs ?
Pour décrypter la question John Noubarassem est allé à la rencontre de Solange Chantal Touabéna, coordonnatrice de la plateforme des associations et organisations de la société civile. Le débat, c’est Dialogue des Cultures et des Religions.