L’ancien ministre et homme politique indépendant, Jean Serge Bokassa, s’est d’entrée de jeu interrogé sur le choix de Khartoum pour abriter ce pourparlers inter-centrafricain. Jean Serge Bokassa n’a pas apprécié l’exclusion d’un certain nombre d’acteurs pendant ce dialogue ainsi que la limitation des échanges à deux acteurs : gouvernement et groupes armés. L’observation de la société civile, des partis politiques et des élus de la nation apparait comme l’exclusion du peuple centrafricain selon Jean Serge Bokassa. Il na pas aimé que les acteurs clés à savoir François Bozizé et Michel Djotodia ne soient pas associés aux discussions. L’ancien ministre qualifie la gestion de l’actuel régime de négatif puisque les Centrafricains continuent de compter les morts.