Impossible de concevoir, mais malheureusement c’est une triste réalité dans le village. Les cabarets poussent comme de champignon dans le village tout au tour des services administratifs du village. Les lieux de cultes ne sont pas épargnés et font aussi face à ces débits de boisson. Du coup, les travailleurs préfèrent s’adonner à l’alcool pendant les heures de service. Quoi de plus normal pour Assibozo. Une position qui révolte Mama Mokonzi et Kala qui oppose une fin de non recevoir à cette pratique. Par conséquent, Mama Mokonzi promet fermer ces débits de boisson et encourage les habitants du village au travail pour sortir du sous développement. Finalement, Assibozo a compris la nécessité et s’est engagé sur le conseil de Ousmane à travailler dans ce sens.