La capitale centrafricaine est frappée par une pénurie de carburant. Le transport en commun a brutalement augmenté et la population pris un coup sur le plan financier. Le litre d’essence qui s’achète à la pompe à 800,80 F Cfa se vend chez les revendeurs à 1500 voire 2500 F Cfa. La vente à la sauvette des produits pétroliers surtout l’essence constitue un danger pour la population mais aussi un manque à gagner pour l’Etat.