L’immunité parlementaire est garantie par la loi fondamentale de la République Centrafricaine lors de la session. Mais ceci ne fait pas des législateurs des hommes au dessus de la loi. Un député peut être arrêté en fonction de délit. C’est dans ce contexte que le député de Wango 1 Ernest Bindala soupçonné par la justice d’avoir tué son fils a été mis au arrêt en attendant sa prochaine comparution. Occasion pour Radio Ndeke Luka dans la rubrique Magazine Parlementaire donne la parole aux élus de situer les frontières de la loi sur cette question. Jean Symphorien Mapenzy, 1er vice-président de l’Assemblée nationale éclaircit l’opinion sur des cas spécifiques dans cette émission que vous pouvez suivre en podcast en cliquant sur le bouton ci-dessous.