Les sages ont mimé une scène qui met en évidence les souffrances des centrafricaines et centrafricains sur les différentes barrières contrôlées par les forces de défense et de sécurité intérieure mais aussi les fonctionnaires et agents de l’Etat. Malgré la présentation des pièces valides carte nationale d’identité, récépissés de carte nationale d’identité et autres, les ayants droits sont contraints de verser des rançons. Plus grave, les contrôleurs demandent des pièces non conventionnelles par exemple la carte baptême qui est purement un document religieux.