Selon Alain Kiziguéré, vice-président de la Ligue Centrafricaine des Droits de l’Homme (LCDH) a donné la parole aux associations des victimes pour faire des propositions sur la situation sécuritaire dans le pays. Ce plaidoyer devra permettre aux responsables chargés de la sécurité publique de prendre les mesures idoines afin de protéger la population, et d’éviter que le nombre de victimes ne puisse s’accroître.