L’abbé Alain Bienvenu Bagbazi explique que la privation de la Caritas des ressources financières ne facilite pas la tache et rend difficile son action sur le terrain. Conséquences : des populations affectées récemment par les crises humanitaires dans les localités de Bria, Alindao, Mingala et Kaga Bandoro ne peuvent plus bénéficier d’une assistance de cette organisation comme par le passé. Le directeur de Caritas Centrafrique garde pourtant espoir que les nouvelles reformes en cours visent à redonner confiance aux partenaires et permettre à la Caritas Centrafrique d’assister les populations civiles affectées.