Les réfugiés et apatrides vivant en Centrafrique célèbrent leur journée dans un contexte particulier avec des innovations du Haut Commissariat aux Réfugiés. La particularité réside dans le fait qu’à Obo et même à Bangui, il n’y aura pas de célébration comme se veut la tradition. La raison est tout de même naturelle puisque le Covid-19 continue de sévir même si jusqu’aujourd’hui les réfugiés sont épargnés de cette maladie. Prévention oblige, le bureau du HCR en Centrafrique a mis à disposition des réfugiés du cash susceptible d’aider ces derniers à faire de la prévention et disposer des kits de lavage des mains. Mais la fermeture des frontières est l’un des défis que devra faire face le HCR pour pouvoir signer des accords tripartites avec les Etats pour mener à bien le dossier des réfugiés. C’est l’objet d’échange qu’a accordé Pierre Atchom du HCR à Radio Ndeke Luka.