Le chef de fil de l’opposition en Centrafrique réagit à l’insécurité dans la Nana Mambéré et l’Ouham Péndé. Pour lui, la situation sécuritaire dans cette partie du pays résulte d’un Laisser-aller. Il impute la responsabilité au gouvernement et dit ne pas comprendre le silence assourdissant de l’exécutif devant le drame. Il se félicite par ailleurs de l’action militaire engagée par la Minusca contre les éléments de 3R. Outre la situation sécuritaire, M. Dologuélé évoque la question des élections de décembre 2020 en désapprouvant l’actuelle Autorité Nationale des Elections qui selon lui, n’inspire pas confiance. Il est interrogé par Jean-Fernand Koena