La montée de la fraude alimentaire et la vente des produits avariés prennent une allure inquiétante en République centrafricaine. Ces produits pour la plupart échappent à la vigilance des services publics compétents. Que font les autorités politiques pour barrer la route à cette pratique dont les conséquences sont néfastes sur la santé publique ? Ghislaine Bertille Hamazoda échange avec Ali Rock Bissengue, président de l’Association de défense et d’information des consommateurs de Centrafrique (ADDICA) et Barthélémy Mbokia, Chargé de communication au ministère du commerce.