Les mutilations génitales féminines consistent à altérer ou à léser une partie des organes génitaux de la femme pour des raisons non médicales. A l’international, elles sont considérées comme une violation des droits humains. En République centrafricaine, les statistiques ont montré que 21% des femmes et des filles entre 15-49 ans ont subi une quelconque forme de mutilations génitales féminines, dont la grande majorité des cas sont détectée à l’intérieur du pays. Quelles sont les conséquences de ces mutilations sur la vie d’une femme ? Comment traiter ce problème au niveau médical ? Pour en savoir plus, Astrid de Bonheur Kolengué et Maxime Joël Lalaye reçoivent professeur Richard Norbert Ngbalet, gynécologue-obstétricien au Centre hospitalier universitaire communautaire de Bangui.