La journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée, ce 3 mai. En République centrafricaine, les professionnels des médias dénoncent le difficile accès aux sources d’informations, à la liberté d’expression et leurs conditions de travail. Même si le gouvernement se vante de ce qu’aucun journaliste n’est en prison, certains observateurs sociaux estiment que beaucoup restent à faire pour améliorer leurs conditions de vie et de travail. Pour en débattre, Armando Yanguendji reçoit Joseph Bindoumi, président de la Ligue centrafricaine des droits de l’Homme ; José Richard Pouambi, président du Haut conseil de la communication et Christian Noël Panika, consultant en journalisme, ancien rédacteur en chef à Radio Centrafrique.