Suite au massacre de 13 civils au village Diki, dans le Bamingui-Bangoran, la Ligue centrafricaine des droits de l’Homme pointe du doigt le laxisme du gouvernement. Selon son président, Joseph Bindoumi, le pouvoir peine à assurer la sécurité de la population, tant à Bangui qu’à l’intérieur du pays.